[fanfiction Harry Potter] Antje #14

Bonne lecture à tous et mille mercis à Charlie pour les commentaires ! (Je te réponds dans la soirée)

Chapitre 14

One of us cannot be wrong

Dans un premier temps, sortir avec Antje ne changea pas grand-chose mon quotidien. Je passais toujours la plus grande partie de mes journées avec mes copains et soit elle nous tenait compagnie, soit elle partait de son côté avec Lily Evans ou la fratrie Smith. Elle n’était pas ce genre de créature mi-femme, mi-sangsue qui se collait à moi sans arrêt. J’en étais soulagé. Britta Hopkins, curieusement, semblait avoir trouvé son compte en sortant avec Rickard Brown et tous les deux étaient ventousés l’un à l’autre toute la sainte journée. Je les trouvais ridicules et ils m’écœuraient à se bécoter sans arrêt devant tout le monde. Pour autant, j’étais content de ne plus avoir cette idiote dans les pieds et par ailleurs, c’était une nouvelle preuve qu’Antje valait bien mieux qu’elle : au moins, elle savait se tenir en public.

Notre relation toute neuve avait quelque chose de furtif. Nous estimions que ça ne regardait pas les gens mais ce n’était pas la seule raison. Nous nous étions engagés en terrain inconnu. J’ignorais ce que pensait Antje mais en ce qui me concernait, je craignais d’être maladroit. Ma propre attitude me surprenait : en temps normal, je n’hésitais ni à faire ce que je voulais ni à dire ce que je pensais. Avec elle, c’était différent. Les premiers jours, lorsque nous nous retrouvions seuls dans une classe vide, nous ne parlions jamais beaucoup. Cela dit, nous parvenions à communiquer par les gestes, les sourires, tout ce que de simples mots ne suffisaient peut-être pas à exprimer. Les non-dits ne se dissipèrent qu’après le nouvel an, alors que les élèves qui s’étaient absentés pour les fêtes allaient revenir à Poudlard pour la reprise des cours. Antje ne semblait pas ravie du retour d’Ornella Kowalski et je pouvais aisément la comprendre. J’essayai de la rassurer.

« Tu ne devrais pas lui accorder autant d’importance, lui dis-je. Elle n’en vaut pas la peine.

— On voit bien que ce n’est pas la dernière personne que tu vois avant de te coucher ni la première que tu vois le matin, rétorqua-t-elle.

— Si elle te fait trop de misères, viens me le dire. Elle passera un sale quart d’heure. Je ne tolèrerai pas qu’on fasse du mal à ma copine. »

Antje rougit jusqu’à la racine des cheveux et noua ses bras autour de mon cou. Je la serrai très fort en respirant son odeur de fleurs. Bon sang, il était temps que les gens cessent de la sous-estimer et de la maltraiter. Elle méritait beaucoup mieux, et beaucoup plus que ce que je pouvais moi-même lui offrir.

Elle s’écarta légèrement de moi pour me regarder dans les yeux. Elle semblait pensive.

« Qu’est-ce qu’il y a ? lui demandai-je.

— J’ai beau y réfléchir, je ne vois toujours pas ce que tu me trouves. »

Je fronçai les sourcils. Je n’avais pas envie de lui répéter pour la énième fois de ne pas se préoccuper de ce que pouvaient penser les abrutis qui nous servaient de condisciples. À la place, je lui parlai des qualités que j’avais perçues en apprenant à la connaître, sa générosité, son courage, son intelligence. J’évoquai aussi son sourire qui m’ébranlait jusqu’au fond de l’âme, ses yeux couleur de chocolat chaud et tout ce que les gens avaient refusé de voir en partant du principe que la trouver moche était plus simple. De toute évidence, elle fut touchée par mes paroles. Son regard me rappela celui que j’avais vu dans le miroir magique des semaines auparavant. Elle évoqua ensuite sa discussion avec Lily Evans à la soirée de Noël, cet échange auquel j’avais assisté caché derrière une armure, lorsqu’Antje avait dit à la préfète que je n’étais pas le crétin arrogant qu’elle croyait voir.

« Je sais que tu agis comme ça en partie parce que tu ne t’entends pas avec ta famille, me dit-elle. Si tu étais vraiment un sale type prétentieux comme le prétend Lily, tu ne serais jamais venu me parler. »

Je me contentai de sourire et pensai qu’il serait mieux qu’elle ignore la vérité. Rien ne serait arrivé si je n’étais pas tombé par hasard sur son journal intime.

Finalement, cet accès de curiosité m’avait beaucoup apporté.

 

oOØOo

 

L’euphorie des fêtes fut oubliée à la fin de la première journée du trimestre. Les profs nous couvrirent de devoirs et se remirent à nous parler des BUSE sans arrêt. Je ne me sentais pas spécialement anxieux à l’idée de passer ces examens mais c’était désagréable de s’entendre répéter constamment que notre avenir en dépendait. Ce n’était peut-être pas entièrement faux mais ces radotages ne faisaient que provoquer un stress malvenu chez les uns et les autres. Si James et moi étions plutôt sereins, Peter se retrouva vite au bord de la crise de nerfs et même Remus, si pondéré d’ordinaire, déclara qu’il aurait « le cul bordé de nouilles » s’il parvenait à décrocher un « Acceptable » à l’épreuve de potions. Il fallait dire que cette matière-là n’était pas son fort.

Les soirs qui suivirent la rentrée furent donc moroses. J’étais content de passer un peu de temps avec Antje dans les classes vides car elle était la seule avec James à ne pas parler des examens sans arrêt. Elle n’évoqua qu’une seule fois la question en disant, avec un sourire de travers, que ce serait à son tour de passer ses BUSE l’année suivante et qu’elle ignorait comment elle gèrerait son stress à ce moment-là. Je haussai les épaules sans répondre même si j’avais une petite idée pour lui remonter le moral le moment venu. Un bon câlin, ça faisait toujours du bien.

À présent qu’elle était un peu plus sûre de ce que j’éprouvais pour elle, Antje se montrait plus loquace quand nous nous retrouvions seuls. Nous discutions de tout et de rien et j’adorais l’entendre parler du monde moldu. Nos conversations m’apportèrent infiniment plus que le cours d’Étude des Moldus qui se basaient davantage sur ce qu’utilisait la population non-magique pour remplacer les sortilèges, les potions et tout le fourniment. Nous n’étudions pour ainsi dire pas la culture moldue, la musique qu’ils écoutaient, les livres qu’ils lisaient. Nous avions juste entendu parler de cette boîte pleine d’images qu’ils avaient dans leurs maisons qui s’appelait « télévision » et qui leur permettait apparemment de se divertir. Antje m’apprit que cet aspect du monde non-sorcier était beaucoup plus riche que je ne l’aurais jamais imaginé. De toute évidence, les Moldus avaient une imagination débordante notre communauté les sous-estimait beaucoup trop.

De temps à autre, Antje me parlait de sa famille. Elle m’apprit que pour le moment, l’état de santé de sa mère s’était stabilisé mais que les médecins moldus restaient circonspects quant à une amélioration sur le long terme. Elle évoqua longuement les vacances d’été qu’elle passait sur le continent avec ses parents et son frère. Antje était née à Bruxelles et elle y avait grandi jusqu’à l’âge de quatre ans quand son père avait trouvé du travail en Grande-Bretagne. Je me pris à penser que ce déménagement avait été providentiel. Si elle était restée dans son pays natal, on l’aurait envoyée faire ses études à Beauxbâtons, l’école où allaient entre autres les sorciers belges et français et je ne l’aurais alors jamais connue.

La vie était étrangement faite.

 

oOØOo

 

La pleine lune de janvier eut lieu durant un week-end, ce qui tombait plutôt bien. Remus, à son grand soulagement, ne manquerait pas de cours et nous aurions tout le dimanche pour nous remettre. Trois mois après être devenus des Animagi, nous maîtrisions de mieux en mieux nos métamorphoses et notre présence rendait notre ami lycanthrope beaucoup moins agressif. De fait, nous pouvions à présent nous permettre de quitter la Cabane hurlante pour nous promener dans le parc sous nos formes animales. James et moi espérions tenter une exploration de la Forêt Interdite d’ici la fin de l’année scolaire mais c’était sans compter les réserves de Remus et les angoisses de Peter. Mes deux potes, à mon sens, manquaient un peu de culot mais tôt ou tard, ce plan serait mis à exécution, je le savais.

Antje n’était toujours pas au courant du « petit problème de fourrure » de Remus pour reprendre les mots de James. Depuis notre première nuit blanche aux côtés de notre ami, elle n’avait eu de cesse de nous jeter des regards soupçonneux. James et Peter haussaient les épaules et répondaient à ses questions par des phrases toutes faites tandis que je lui disais de ne pas s’inquiéter. Bien entendu, comme c’était une fille intelligente, elle finirait par découvrir notre secret et ce fut en ce début d’année que la chose se produisit.

Nous avions passé la nuit dans le parc, du côté de la cabane de Hagrid. Le garde-chasse possédait un énorme chien qu’il attachait devant chez lui et nous avions trouvé amusant de lui faire peur. Il avait peut-être l’air terrifiant mais c’était une chochotte. Sous ma propre forme canine, je n’avais pas manqué de remarquer que c’était un dominé. Il suffisait de lui aboyer après pour qu’il file se cacher. Ce fut drôle un moment mais ce petit jeu s’avéra vite lassant. Le reste de notre nuit fut donc consacré à une exploration en règle jusqu’aux abords de la forêt et nous regagnâmes la Cabane hurlante quelques heures avant le lever du jour. À l’heure du petit-déjeuner, tandis que nous piquions du nez sur nos tasses de café, je m’attendis presque à affronter le regard suspicieux d’Antje mais curieusement, elle se contenta de secouer la tête en nous voyant avant de se plonger dans un cahier sur lequel elle écrivait. Je crus vaguement qu’il s’agissait de son journal intime mais James n’eut pas la même idée que moi :

« T’as des devoirs en retard ? demanda-t-il en étouffant un bâillement.

— Ce ne sont pas mes devoirs, répondit brièvement Antje.

— Ah, c’est quoi alors ?

— Passe-moi le sucrier, s’il te plaît. »

Il était évident qu’elle ne nous dirait rien de plus, ce qui me conforta dans l’idée du journal intime. Je profitai qu’Antje tende le bras pour attraper le sucrier que lui tendait James pour jeter un coup d’œil. Je ne risquais pas de voir grand chose mais j’étais curieux. À mon grand étonnement, je vis plusieurs colonnes de chiffres. Ça ressemblait à un calendrier. Antje surprit mon regard et fronça les sourcils d’un air agacé.

« Bon sang, Sirius, siffla-t-elle, c’est beaucoup te demander de te mêler de tes affaires ? »

Elle referma son cahier d’un geste brusque et le fourra dans son sac de paille avec sa plume et son encrier. Elle termina sa tasse de thé et se leva sans me laisser le temps de réagir.

« Où tu vas ? demanda James.

— À la bibliothèque. J’ai besoin d’un bouquin. À plus tard. »

Je l’attrapai par la main alors qu’elle allait quitter la salle et lui jetai le regard le plus irrésistible possible. Elle sourit en secouant la tête :

« Je n’en ai pas pour longtemps, dit-elle. Après, il faudra qu’on discute. »

Sur ces mots, elle nous planta là. Peter se gratta l’arrière du crâne et James eut un nouveau bâillement.

« Tu as vu ce qu’elle écrivait ? me demanda-t-il.

— Des chiffres. Une sorte de calendrier. »

Mon meilleur pote secoua la tête sans comprendre.

« Pourquoi elle fait ça ?

— J’ai une idée sur la question », dit Peter.

Tandis que nous le regardions avec des yeux de Strangulots frits, il nous expliqua que sa mère possédait elle-même un calendrier sur lequel elle notait les dates correspondant à cette chose assez peu ragoûtante qui arrivait aux femmes tous les mois. J’étais persuadé que les colonnes de chiffres d’Antje n’avaient aucun rapport avec ça. C’était le genre de trucs que les filles aimaient garder pour elles. Quoiqu’il en soit, James eut une grimace dégoûtée et Peter se mit à rigoler.

« C’est la nature, dit-il. En un sens, ce n’est pas tellement différent de ce qui arrive à Remus tous les mois… »

C’est alors que je compris.

S’il s’agissait bel et bien d’un calendrier, Antje avait dû aller vérifier les dates des dernières pleines lunes. Elle constaterait certainement que les absences de Remus y correspondaient et à partir de là, elle n’aurait aucun mal à deviner le fond du problème. Jusqu’alors, je m’étais persuadé que tout se passerait bien quand ce moment arriverait mais finalement, je n’en menais pas large. Mon expression sembla inquiéter James qui me demanda ce qui m’arrivait.

« Ça va, dis-je. Je vais rejoindre Antje à la bibliothèque, j’ai un truc à lui demander. Ça ne sera pas long, on se retrouve après dans la salle commune. »

Je me levai et sortis à mon tour sans leur laisser le temps de répondre.

 

oOØOo

 

Dès que je trouvai Antje, assise à une table entre deux étagères de bouquins, je sus que j’avais raison. Trois ans auparavant, James, Peter et moi avions eu exactement la même démarche. Tout comme elle, nous avions compulsé un calendrier lunaire et feuilleté, entre autres ouvrages de référence consacrés aux créatures dangereuses, les Animaux fantastiques de Newt Scamander que nous étions tous sensés posséder depuis la première année. L’exemplaire d’Antje était posé bien en évidence sur la table à côté de son cahier ouvert. Cette fois-ci, je pus distinctement y voir le calendrier des quatre derniers mois avec les dates de pleine lune soulignées d’un trait d’encre rouge. Antje ne semblait pas avoir remarqué ma présence. Elle était plongée dans un livre dont je ne pouvais pas voir la couverture et elle mâchait le bout de son crayon. Je toussai discrètement, ce qui lui fit lever la tête. Elle me jeta un regard impénétrable.

« Quand est-ce que vous comptiez me le dire ? demanda-t-elle.

— Tu l’aurais deviné tôt ou tard.

— Je pense plutôt que ça vous aurait arrangés que je ne le sache jamais. »

Je haussai les épaules.

« Je savais que tu finirais par comprendre. Tu es une fille intelligente. Et puis tu sais, ce n’est pas le sujet le plus facile à aborder… »

Le nom de Remus et le terme de « loup-garou » n’avaient pas été employés et j’y vis un signe que nous nous comprenions à demi-mot. Antje se leva et remit ses affaires dans son sac.

« Je vais emprunter ce livre. Attends-moi dehors. »

Je jetai un coup d’œil à l’ouvrage qu’elle tenait à la main et qui s’intitulait Morsures, griffures et autres pathologies animales. De toute évidence, ce n’était pas le genre de bouquin à lire le soir avant de s’endormir à moins de souffrir d’insomnies particulièrement tenaces. En passant, je frôlai l’épaule d’Antje et quittai la bibliothèque. Elle me rejoignit quelques instants plus tard.

Les couloirs étaient déserts, ce qui fait que nous pûmes discuter, toujours sans employer les termes exacts parce qu’on n’était jamais trop prudents.

« Comment vous l’avez deviné ? me demanda-t-elle.

— Comme toi. Ça nous a pris plus de temps mais on n’était qu’en deuxième année quand on a compris. Au début, on a vraiment cru qu’il allait voir sa mère une fois par mois parce que c’était ce qu’il nous a fait croire. Et puis on s’est aperçus que c’était lui qui avait l’air malade une fois qu’il revenait, et on a fini par faire le rapprochement avec les pleines lunes.

— Je vois. »

Elle laissa passer un silence.

« Où il est, en ce moment ?

— À l’infirmerie, répondis-je. Madame Pomfresh le garde toujours en observation le lendemain.

— On ne peut pas aller le voir, j’imagine ? »

Je préférais ne rien dire. Il y avait bien la cape d’invisibilité de James mais je préférai ne pas en parler à Antje sans l’accord du principal intéressé.

« Ce que je ne comprends pas, reprit-elle, c’est pourquoi James, Peter et toi ressemblez à des zombies après les pleines lunes. Vous ne dormez pas de la nuit ou quoi ? »

Peut-être aurais-je dû faire comme James, lui dire qu’elle posait trop de question ou lui signifier qu’elle était trop perspicace pour son propre bien. Toutefois, elle avait pris une certaine place dans mon existence dont j’espérais qu’elle ne partirait pas de sitôt, ce qui fait que tôt ou tard, il me faudrait bien évoquer la question des Animagi… mais pas tout de suite.

« Je ne peux pas te le dire pour le moment, dis-je. Plus tard, je t’expliquerai.

— Pourquoi ? C’est dangereux ?

— …

— C’est interdit ?

— Très certainement, dis-je sans pouvoir m’empêcher de sourire.

— Et ça a un rapport avec Remus ?

— Tout à fait.

— J’espère que ça ne vous retombera pas dessus. Ça me ferait mal si tu étais renvoyé, Sirius.

— Je te promets qu’on fait attention.

— Tu m’expliqueras ?

— Juré sur la tête de James. »

Antje éclata de rire.

« Tu es complètement cinglé. Mais je crois que c’est quelque chose que j’aime chez toi. »

Cette presque déclaration me fit rougir. Question sentiments, nous étions aussi peu loquaces l’un que l’autre, ce qui fit que ses propos m’allèrent droit au cœur. En y ajoutant le fait qu’elle ait accepté les petits soucis de Remus sans que cela ne remette quoi que ce soit en cause, je ne pus me retenir de la prendre dans mes bras et de la serrer très fort. Nous étions au milieu d’un couloir mais je n’en avais rien à faire. Je voulais juste qu’elle sache à quel point je l’aimais, à quel point sa générosité me rendait heureux. Elle se blottit contre moi de bonne grâce et nous restâmes ainsi enlacés un moment, jusqu’à ce qu’un drôle de bruit ne nous surprenne. Un genre de couinement aigu de chat écrasé. Antje se dégagea de mes bras, je me retournai et croisai le regard d’Ornella Kowalski qui nous regardait d’un air hagard, un doigt pointé sur nous.

« Mais… mais… mais… balbutia-t-elle. C’est dégoûtant ! Pouah ! »

Je n’eus pas le temps de lui faire remarquer que ce n’était pas plus dégoûtant que sa chère amie Britta Hopkins en train de lécher la figure de Rickard Brown. Elle prit la fuite en courant et disparut au détour d’une chicane.

Lilou Black

Liloublack, trentenaire rêveuse et caféinomane qui vit chez son chat le jour et dans son palais mental la nuit. What else ?

2 Commentaires

  1. J’ai repris ta fiction à zéro Lilou pour me remettre dans le bain et je viens de lire ce chapitre que je n’avais pas encore commenté. Je me rattrape de suite jusqu’à la fin cette fois-ci !
    En tout cas, j’ai beaucoup aimé ce chapitre plutôt doux. Ça fait du bien des fois de ne pas avoir trop d’actions. Ça évite à mes émotions de faire le yoyo. Antje est perspicace et très intelligente, comme peut le remarquer Sirius.

    J’ai peur de lire le chapitre suivant vu la fin de celui avec la peste de Britta Hopkins. Ah cette petite pouffe écervelée … Je pourrais l’étrangler.

    PS : j’aime toujours autant ton humour ! 😀

  2. J’ai peur de lire le chapitre suivant vu la fin de celui-ci avec la peste de Ornella Kowalski. Franchement, ça ne présage rien de bon … Mais j’espère sincèrement me tromper. Sans oublier sa chère copine Britta Hopkins. Ah cette petite pouffe écervelée … Je pourrais l’étrangler.

    (Petit soucis avec mon commentaire précédent.

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