Cette nouvelle a été écrite dans le cadre d’un appel à textes sur le thème du handicap. Avant de vous dévoiler ma chronique, voici un extrait pour vous mettre l’eau à la bouche. Il s’agit de la première rencontre entre les deux protagonistes de l’histoires, Hayden et Noah. Ils sont voisins et Hayden vient d’emménager mais il n’a encore jamais croisé Noah.
« Arrivé sur mon palier, je m’arrête net dans ma course.
Mon voisin se tient devant sa porte qu’il vient de claquer.
Ce sont ses boots que je remarque d’abord avant de laisser mes yeux remonter sur son jean noir qui moule ses fesses rondes et fermes. Puis sa main, tenant un casque de moto. Sa veste en cuir, qui cache la forme de son torse que je devine pourtant puissant. Puis plus haut. Toujours plus haut. Jusqu’à son visage qu’il vient de tourner vers moi en m’entendant arriver.
Mon souffle se bloque dans ma poitrine.
Inspiration.
Expiration.
Ai-je déjà vu un visage comme le sien ?
Il est… beau ? Certes. Ses yeux bleus, froids, croisent les miens et je me liquéfie de l’intérieur.
Sombre. Bestial. Sexy. »
Je ne sais pas vous, mais j’attends toujours beaucoup de La fameuse scène de rencontre. Elle est importante car c’est la première image qu’aura chacun des personnages de l’autre. Ici, elle est très bien écrite et m’a énormément plu. Je ne vous dévoile pas la suite mais sachez juste que vous passerez vite des rires aux larmes en lisant cette nouvelle. F.V Estyer a une plume qui nous immerge dans les émotions les plus profondes de ses personnages.
À très vite pour ma chronique!
