UNE FAMILLE EXCEPTIONNELLE

Les écrits d'Edward Cullen

Lettre écrite dans une superbe chambre d’hôtel Parisien. L’air est frais, le temps à la tempête, un peu comme les âmes de certains.

Le beau temps ne va pas tarder et les oiseaux entameront alors leur chant du bonheur face à la félicité qui les attend.

 

J’avais oublié le plus important : Merci Emmett, de me l’avoir fait rappeler !

Surprise en musique :

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À vous, ma chère et si aimée famille,

Je me réjouis entièrement de ce voyage en Europe et plus précisément à Paris. Le temps a eu enfin pitié de nous et nous offre sa clémente bénédiction avec nuages et pluie à l’horizon.

Je ne pensais pas un jour dire cela mais je crois être totalement retombé en enfance avec ce fabuleux parc d’attraction. Voir Renesmée aussi épanouie me fait chavirer l’âme. Incroyable moi qui aie très peu, voire pas du tout, de souvenir de ma propre enfance.

Avant de continuer un peu sur mon bonheur extatique j’aimerai, Esmée, te dire cela :

Tu as entièrement raison de remettre un peu toute la maisonnée en place. Ca t’arrive si rarement que cela peut sans doute impressionner ceux qui n’y sont pas habitués. Je parle de Bella notamment qui s’en est beaucoup fait pour vous. Personnellement et te connaissant bien, je sais que Carlisle sera à la hauteur de tes attentes ma chère Esmée.

Il n’y a jamais de dispute sans amour et pas d’amour sans dispute. Que serait un couple sans les prémices de tensions qui font chavirer les cœurs pour que les corps se retrouvent et puissent entamer la danse éternelle de l‘amour sensuel ?

Détruisez des maisons, hurlez, frappez les murs ! Je sais à quel point tu aimes Carlisle et tu sais à quel point l’inverse est vraie. Je ne doute pas un seul instant de l’intensité de vos retrouvailles futures. À vrai dire, je suis même

ravi de ne pas être témoin de vos pensées présentes et à venir. Ne m’en veut pas, tu sais à quel point il est dure de fermer mon esprit lorsque vous êtes dans cet état.

Vous n’êtes pas les seuls à souffrir de ces tensions: Bella et moi-même y sommes assez sujet mais j’ai résolu le soucis lors des siestes de la petite. J’aime tellement ma douce et belle épouse qu’il m’est difficile de me montrer en colère contre elle. Ses moindres faits et gestes suscitent en moi un tel émoi que je serai bien incapable de ne pas sauter sur l’occasion pour lui prouver mon amour éternel. (Emmett, nous avons appris à être le plus silencieux possible. Oui je te le dis, c’est possible !)

Toi qui semble assez proche de Jacob, dis-lui ceci : Renesmée pense et parle très souvent de lui. Il lui manque et elle a hâte de le retrouver.

Rosalie, tu manques aussi à Renesmée. Pas un jour elle ne compare pas les princesses à ton incroyable beauté et : » Tata Rose elle est plus jolie qu’elles. Tata elle c’est une vraie princesse ! » Amusant ne trouves-tu pas ?

Alice et Jasper : Pleins de jolies chose pour toi mon petit lutin. Jasper, frangin, j’espère que tu as aménagé un peu plus de place dans vos quartiers ?!

Emmett, je sais que je te manque. Ne t’en fais pas on fera, dès mon retour, une belle partie de chasse.

Pour finir cette lettre Parisienne, je vous joints quelques clichés pris sur place, ainsi que l’attraction préférée de Renesmée ( qui nous l’a fait refaire 356 fois).

Vous nous manquez tous !

Affectueusement,

Edward

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