
Peu à peu, Maaya se laisse prendre au jeu de Chigira consistant à faire semblant d’être éprise de lui pour surmonter son chagrin d’amour; du moins, à condition de ne pas tomber amoureuse ! Mais comment faire alors que le garçon est si doux et attentionné envers elle ? Maaya a tôt fait de craquer. Or, l’avouer reviendrait à mettre un terme au jeu et à leur relation privilégiée… En proie au doute, Maaya va devoir prendre une décision radicale.
Mon avis :
J’avais trouvé le premier tome sympa, mais assez classique et déjà vu dans la construction de son histoire et son schéma narratif. Cependant, les dessins, la mise en pages m’avaient plus que charmée.


Cette suite est donc dans la même veine que le premier tome, mais j’admets que si j’ai trouvé nos personnages mignons et tout, l’héroïne, Maaya, m’a un peu agacée. Parce qu’elle croit que tout ce qu’elle est vit avec le héros, Chigira, est faux alors que les mots de ce dernier, ses actions tendent à penser le contraire. Le problème, c’est que Maaya a un tel manque de confiance en elle qu’elle ne voit pas ce qu’il y a devant elle, à savoir Chigira. Et ça nous offre parfois des situations limite ridicules.
Bon, il est vrai que celui-ci est assez énigmatique dans ses manières avec elle et ne parle jamais franchement. Sans doute parce qu’il a peur de se prendre un vent, je ne sais pas. Pourtant, c’est le beau gosse du lycée. Ici, entre nouvel An et la Saint-Valentin, Maaya et Chigira vont continuer à jouer le jeu du faux couple, à tourner autour, jusqu’à ce que Chigira lui fasse une nouvelle proposition.



En toute franchise, si And yet, you are so sweet ne casse pas des briques, que son scénario est éculé et par moment les réactions de l’héroïne m’ont fait lever les yeux au ciel, j’ai passé un bon moment de lecture. D’ailleurs, j’ai envie de persister avec ce titre voir où ça va m’amener. Sait-on jamais, on peut avoir des surprises.