Les élèves de terminale participent à leur dernière fête du sport, marquée par le manque de motivation de Sengoku, les efforts en danse de Sakura, et l’implication de Miyamura. Celui-ci voit cette journée d’un œil doux amer, car c’est son premier festival partagé avec des amis, mais aussi le dernier… Fort heureusement, la bande n’a pas fini de se créer de beaux souvenirs de son ultime année de lycée !
Mon avis :
Ce manga est toujours aussi fun à lire ! Un vrai antidépresseur qui fait du bien quand ça ne va pas ! Et même s’ils sont assez simplistes, j’aime beaucoup les dessins que je trouve toujours très expressifs et bien réalisés.
Ici, nous assistons à la fête du sport qui nous promet de grands moments d’humour ! On peut dire que certains personnages n’en ratent jamais une pour se faire remarquer. Tout comme Hori notre héroïne au fort caractère qui rêve en secret de soumission. Là encore c’est assez tordant, car les malentendus sont vite arrivés.
Ce que j’ai aimé dans ce huitième tome, c’est d’en apprendre un peu plus sur le passé de Miyamura et ce, à travers un ancien camarade de collège avec qui ça ne se passait pas forcément bien.
En parlant de malentendu, il y en aura un assez mignon, quand on y pense, entre Hori et son boyfriend. Tout cela à cause d’un cauchemar. Hori m’a autant fait sourire qu’elle m’a fait de la peine par moment.
Comme vous le constatez, je prends vraiment plaisir à cette lecture sur les relations sociales et amoureuses de nos lycéens japonais aux forts caractères, et qui n’en ratent jamais une pour se faire remarquer ! Je suis fan de ce manga !
