
Au moment où Koyomi se prépare à donner le coup de grâce à Kiss-Shot, Tsubasa s’interpose et dévoile les véritables desseins de celle-ci. Si la vampire a orchestré cette confrontation, c’est en fait pour rendre à l’adolescent son humanité, et ce, au prix de sa vie. Koyomi s’y refuse, d’autant plus à présent qu’il connaît le passé tragique de sa maîtresse et de son premier familier. Saura-t-il trouver une solution pour que chacun puisse vivre heureux ?
Mon avis :
Enfin ! L’arc concernant Kiss Shot se termine ici ! Et quelle fin mes ami. e. s ! J’ai adoré même si notre cher héros ne voyait, à la base, pas les choses ainsi (et je l’admets, moi non plus). On en revient finalement au début, car rien ne change vraiment. Enfin, si, Araragi a fait des choix.
J’aime toujours autant le personnage de Mémé Oshino même si clairement, il n’apporte pas grand-chose de plus hormis pour apporter de mauvaises nouvelles. Un peu comme un oiseau de mauvais présage. D’ailleurs, il a une réaction étrange concernant la jolie et plantureuse Hanekawa. Affaire à suivre, j’avoue qu’il m’a pas mal intrigué et mis le doute sur elle.
La seconde partie de ce volume nous montre Araragi qui reprend sa vie de lycéen avec sa petite amie (la jolie et Senjôgahara, celle qui était aussi légère qu’une plume) et c’est l’occasion de revoir aussi toutes les filles qui ont jalonné l’histoire depuis le début et qui étaient possédées par des chimères.
J’ai trouvé cette seconde partie plus brouillonne et surtout, c’est peut-être moi, mais il m’a semblé que les dessins étaient de qualité inférieure à la première partie. D’ailleurs, pour revenir sur la première partie du manga, cette dernière a eu quelques ratés d’impression, car sur l’une des planches les trames ont carrément sauté. Enfin bref…
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé ce tome même si la seconde partie m’a un peu perdue. J’attends de voir sur quoi l’intrigue va reposer maintenant. À voir avec la suite !