
Enlevé par des vampires, présumé mort par les siens, le vamplycan Veso doit faire appel à une créature qu’il déteste presque autant que ses ravisseurs pour s’évader : une humaine. Mais Glenda s’avère pleine de surprises, et il accepte de l’escorter à travers les terres sauvages de l’Alaska. Perturbée par l’idée qu’elle a de la famille vampire et qu’un parent éloigné veut l’accoupler de force pour perpétuer son sang, la jeune femme se raccroche à Veso. Lui seul peut la protéger, mais s’il se porte garant de sa survie, elle risque de perdre son cœur en échange…
Mon avis :
Si on reste exactement dans le même schéma depuis le premier tome, je dois quand même dire que j’ai bien aimé cette suite. On découvre donc Veso, qu’on nous avait dépeint comme un vamplycan mauvais qui n’aime pas les humains (et qui avait abandonné l’héroïne du tome 3 à son triste sort). Le voilà enlevé par une horde de vampire pour le faire accoupler à une humaine.
Glen est une héroïne que j’ai apprécié suivre. Elle n’est pas faible bien qu’elle n’ait pas de super pouvoirs. La jeune femme va apprendre à survivre et accepter cet étrange lien qui se noue avec Veso. Leurs interactions étaient très sympas même si la romance était, on s’en doute, convenue et courue d’avance.
Tout comme les héroïnes des précédents tomes, Glen va devoir apprendre à se faire accepter de ce clan de surnaturels qui ne voient pas l’arrivée d’humaine dans leur village d’un bon œil. C’est tout un système qui change.
Si on n’entend plus trop parler des héros des deux premiers tomes, puisque les récits se passent dans le clan du méchant grand-père, Decker, les gargouilles restent un sujet très présent.
Enfin bref. Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment de lecture avec cette romance paranormale. Si elle ne bouleverse pas les codes du genre et que les intrigues sont hyper téléphonées, tout repose sur la personnalité des protagonistes et pour vous dire, ici, ça a bien matché avec moi.