
Dans un monde abandonné par la nature, les sorcières sont le seul espoir de l’humanité !
Grâce à Oak, Pilly s’est échappée de la forteresse de Fruditilla, une ancienne sorcière devenue sainte patronne de la cité impériale, et a libéré Karen du cachot où elle était enfermée. Maltraitée par sa geôlière des jours durant, cette nouvelle amie est malheureusement bien mal en point…
Pour la sauver, Pilly n’a pas le choix : il faut qu’elle parte à la recherche d’amurds et qu’elle concocte un remède au plus vite ! Seulement, Oak se montre réticent et suggère d’abandonner la jeune femme, de peur qu’elle les retarde, ce qui met sa protégée hors d’elle. Les deux compagnons parviendront-ils à trouver un terrain d’entente ?
Mon avis :
Voilà un tome que j’ai savouré ! Cela dit pour l’instant, j’apprécie beaucoup cette série en manga pleine de douceur et de bienveillance. L’Eden des sorcières est une belle ode à l’écologie et la nature qui me plait énormément. On y suit le personnage de Pilly qui ne cesse d’évoluer et fur et à mesure de ses aventures et des rencontres qu’elle réalise.
Avec son fidèle Oak, une créature ressemblant à un loup, mais fait de plantes, elle parcourt le monde à la recherche de l’Eden des sorcières. Un endroit qui semble hors de portée, mais Pilly y croit dur comme fer.
Dans cette suite, sa bonté d’âme va aider une jeune sorcière mal en point et Pilly va faire la connaissance d’un ancien soldat gardant des amurds pour une sorcière qu’il a aimée.
Les dessins sont toujours aussi fabuleusement réalisés et l’histoire reste passionnante avec une fin de tome qui nous laisse présager une suite particulièrement haletante.
Si ce tome reste plutôt calme dans son ensemble, c’est toujours un plaisir à lire. J’aime beaucoup cette série que je suis avec un vrai plaisir.
J’ai adoré le rôle et l’histoire du personnage en couverture. Ce fut beau et émouvant. Et Pilly reprend du poil de la bête.
Par contre, j’ai trouvé catastrophique le rebondissement final. Hyper forcé et mal amené ^^!
En fait, c’est vrai tu as raison, la fin est un brin forcé et peut-être aussi un tantinet redondante, mais ça ne m’enlève pas le plaisir de cette lecture 🙂