
Après une vive altercation avec les autorités de Daniemi, Ryû décide de se mettre au vert… prendre le large ! Carlo le lance alors sur la piste de Dunia, une société secrète qui aurait le pouvoir de le cacher à ses poursuivants. Mais en chemin, la petite troupe tombe sur une bande de morues… sirènes retenues captives par des pirates…
Mon avis :
Cette suite est toujours aussi prenante avec notre Yakuza préféré réincarné en princesse qui n’a rien de très féminin. Ryû n’hésite pas à faire ce qu’il sait faire, c’est-à-dire se battre, faire régner un semblant de justice et gagner !
Dans ce nouveau volume, il va même obtenir plus qu’il ne l’espérait, de nouveaux compagnons de voyage et dans un monde inconnu (mais ô combien palpitant), il en aura bien besoin. Sur la route, enfin en mer, puisqu’ils ont pris le bateau, la petite bande va venir au secours de sirènes, qui comme Ryû sont loin d’être douces et fragiles. J’apprécie ce côté décalé !
Ce que j’ai aimé également, c’est d’avoir quelques petits flashbacks (très court) du yakuza, mais également ce côté, très délire et sans prise de tête. C’est fun, ça se castagne, et ça s’exprime sans langue de bois.
Voilà un manga dans le genre isekai qui a su retenir toute mon attention et que je suis toujours avec plaisir. De plus, j’admets apprécier son graphisme, ses ombrages, etc.
Bref. En quelques mots, cette suite est dans la lignée des trois précédents tomes. J’ai l’impression que l’on se dirige vers un récit d’aventures dans lequel les lecteurs découvrent, en même temps que le héros, un nouveau monde des plus hostiles.
À suivre.