La Semaine du Shôjo 2021 — 9e édition

Quel(s) shôjo te donne (nt) le plus envie de voyager ou t’invite (nt) le plus à l’évasion ?

Cette année, j’ai eu la belle surprise d’être contactée par le Club Shôjo pour participer à la #SemaineDuShojo2021 !

Étant fan de mangas et lisant également énormément de shôjo, c’est avec beaucoup de joie que j’ai accepté. Plutôt que de vous faire un billet « pro », je vais prendre cette question de façon assez « personnelle ». J’en lis depuis plus de 30 ans, mais je ne me sens pas la légitimité de vous faire un cours théorique sur le sujet.

Les mangas de type shôjo qui prêtent à l’évasion et au voyage il y en a pléthore ! Mais, je pense que tout dépend de la sensibilité et des goûts de tout un chacun. Dans mon cas, j’ai pris la question à la lettre et je vais vous parler simplement des titres qui me sont venus tout de suite à l’esprit lorsque j’ai découvert la question du Club Shôjo.

🌸Allez, c’est parti !🌸

Je lis des mangas depuis que je suis adolescente. Pour tout dire, j’ai commencé à en « lire » en japonais (alors que je ne comprenais même pas encore la langue) parce qu’à l’époque (au milieu des années 90) il n’y avait pas grand-chose en français : Sailor Moon, Appleseed, Akira, Dragon Ball… On pouvait alors compter les titres sortis sur les doigts des deux mains.

C’est en 1997, à la librairie parisienne Atomic Club que j’ai découvert un manga que j’ai adoré et que j’aime toujours énormément. Il s’agit de Fushigi Yugi de Yuu Watase.

À cette époque, il n’existait pas encore en français, mais cela ne m’a pas empêché d’aimer cette histoire. Plus tard, je l’ai redécouvert en français. Ce shôjo est un Isekai (des gens de notre monde qui tombent dans un univers imaginaire) avec deux amies, Miaka et Yui qui vont être propulsées dans un livre.

D’amies, les deux jeunes filles vont devenir ennemies. Une quête pour Miaka va s’engager et les péripéties qu’elle va vivre dans ce monde imaginaire vont la faire grandir et évoluer. Et puis, elle y découvrira l’amour avec le beau Tamahome (incérez ici les cœurs qui vont bien). Bon, c’est un résumé très léger, mais j’en garde un excellent souvenir.

D’ailleurs, vous en parler me donne envie de relire ce manga. Et pour celles et ceux qui voudraient le découvrir, même si le manga physique n’est plus disponible en neuf, on peut encore le trouver en occasion à prix raisonnable ou bien encore en numérique chez Delcourt/Tonkam.

Concernant la partie graphique, le style de Yuu Watase n’était pas encore le plus abouti, cependant, il est déjà bien sympa. C’est vivant, et puis il y a aussi de l’humour, parce que Miaka est ce qu’on appelle une anti-héroïne dans le style de Sailor Moon.

Fushigi Yugi de Yuu Watase

18 tomes — série terminée / Delcourt -Tonkam

Son résumé (via Nautiljon):

Miaka Yuki est soumise au stress des examens. Un jour, en accompagnant Yui Hongô, sa meilleure amie, à la bibliothèque, elle trouve un livre nommé « Les écrits des quatre dieux du ciel et de la terre ». Mais ce livre est magique, et les deux jeunes filles sont aspirées dedans.

Dans le monde du livre, qui se passe dans une sorte de Chine ancienne, Miaka devient la prêtresse de Suzaku, un des 4 dieux, protecteur du pays Sud, avec pour charge de protéger le royaume. Mais la prêtresse de Seiryu, dieu protecteur d’un pays rival, n’est nulle autre que Yui… Avec l’aide de Tamahome, étant amoureux l’un de l’autre, Miaka va tout faire pour retrouver Yui et rester au côté de Tamahome pour ensuite trouver les autres étoiles et invoquer Suzaku.


Et si jamais vous avez aimé Fushigi Yugi, je ne peux que vous conseiller le spin-off ou prequel, La légende de Genbu. Ce manga est aussi bien que son prédécesseur avec un style plus travaillé. Yuu Watase était alors à son apogée (à mon goût).

Fushigi Yugi, la légende de Gembu

12 tomes — série terminée / Delcourt-Tonkam

Son résumé (via Nautiljon):

Durant l’ère Taishō, en 1923, Takiko Okuda veille sur sa mère gravement malade, en l’absence de son père. Lorsqu’elle meurt, celui-ci reste imperturbable, car préoccupé par le livre qu’il traduit, « Les Écrits des Quatre Dieux du Ciel et de la Terre ». Excédée, Takiko s’empare du livre afin de le déchirer, mais est aspirée à l’intérieur.

Projetée dans un monde ressemblant à la Chine ancienne, elle fait la connaissance d’une femme possédant un tatouage sur la poitrine signifiant « femme », ayant le pouvoir de manier le vent… et de transformer en homme ! Cette personne s’avère être en fait Rimudo, un assassin surnommé « le démon du vent ». Takiko ne comprend pas la situation dans laquelle elle se trouve. Elle croise plusieurs habitants qui vont voir en elle la prêtresse de Genbu, qui d’après les légendes doit venir sauver le pays lorsqu’il est menacé. Se sentant pour la première fois en mesure de réaliser quelque chose, Takiko accepte de rassembler les sept étoiles de Genbu, avec lesquels elle va pouvoir invoquer le dieu Genbu, protéger le pays et réaliser trois de ses vœux.

J’adore la fantasy, mais ce qui me permet de m’évader aussi ce sont les récits dits « historique ». J’ai adoré La Courtisane d’Edo de Kanoko Sakurakuji qui est paru aux éditions Pika. Le récit se passe, comme vous vous en doutez surement à l’ère d’Edo. Il y est question de vengeance, d’apprentissage, de réhabilitation et d’amour.

Nous suivons l’héroïne, Akane, bien décidée à venger la mort de ses parents et à réhabiliter le nom de son père tomber en disgrâce suite à un complot. Pour cela, la jeune fille est prête à tout même à devenir une courtisane en intégrant une maison close de luxe, l’Akebonorô.

De la noblesse dorée à une dure vie ou la rivalité est reine, notre héroïne pourra compter sur son fidèle serviteur, mais également sur le beau et ténébreux Sôsuke tombé fou amoureux d’elle.

J’ai suivi cette série avec passion et j’attendais les prochains tomes avec impatience. C’est une excellente série historique qui en plus de vous faire voyager dans le temps, vous montrera un pan du Japon historique et de ses mœurs qui a toujours fait fantasmer les Occidentaux. Je ne peux que vous conseiller cette série. Pour ne rien gâcher, le graphisme est délicat, magnifique et sublime l’histoire.

La Courtisane d’Edo de Kanoko Sakurakuji

12 tomes — série terminée / Pika Edition

Son résumé :

Dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara, à l’époque d’Édo, Akané est une jeune orpheline issue de la noblesse militaire. Suite au mystérieux assassinat de ses parents, elle décide de se jeter dans la gueule du loup en se présentant dans une maison close de grand luxe : l’Akebonorô. Sa rencontre avec Sôsuke, jeune prêteur sur gage et grand séducteur à l’intelligence acérée, va littéralement bousculer son destin. Dans cet environnement où la luxure est reine, cette apprentie courtisane s’apprête-t-elle à goûter au paradis ou à l’enfer ?

J’aimerais maintenant vous parler d’une autre série plus récente et encore en cours que je suis avec énormément de plaisir : Called Game de Kaneyoshi Izumi qui parait aux éditions Kazé manga.

Il s’agit de romance fantasy historique. L’histoire se déroule dans un univers fictif composé de plusieurs royaumes appelés par des lettres.

Notre héroïne est une jeune fille badass dans l’air du temps qui n’hésite pas à sacrifier sa condition de princesse privilégiée pour mener à bien la mission confier par son père.

Entre complot, rivalités et intrigues politiques, le récit est mené tambour battant, le tout servi par un dessin soigné et féminin que j’aime beaucoup. Alna devenue chevaleresse sous une fausse identité devra la jouer fine pour ne pas être tuée et tentera de percer les complots ourdis contre elle et d’autres reines.

Dès le départ cette histoire m’a fait penser à une autre série (que j’ai découverte en japonais dans les années 1990) : Kakan no Madonna de Chiho Saito. J’ai toujours été triste que cette œuvre ne soit jamais traduite en français.

Dans l’Italie du XVIe siècle, Léonora est une jeune fille possédant une chevelure argentée. Un jour, elle découvre un portrait lui ressemblant énormément, réalisé par le célèbre peintre Léonard de Vinci dix ans avant. Elle apprend alors qu’elle aurait la clé pour trouver l’épée qui permettra de régner sur l’Italie. Pourchassée, elle décide alors de se travestir, coupant et teintant alors ses cheveux, avant de se lancer elle-même dans la quête de l’épée légendaire.

Called Game de Kaneyoshi Izumi

5- en cours en VO — 4 en français / Kazé Manga

Son résumé :

Alna, jeune princesse, a été promise au roi du pays voisin. Par mesure de sécurité, son père lui conseille d’échanger son identité avec celle de sa servante Camilla. Présentée au château comme sa garde du corps, elle découvre une cour déchirée par les intrigues et cinq autres prétendantes prêtes à tout pour accéder au trône. Entre romances, alliances et complots, Alna devra se plier aux jeux du pouvoir pour survivre !

Et pour continuer cet article, il m’est impossible de ne pas parler d’un shôjo isekai, sans doute l’un des tout premiers que j’ai lu avec Fushigi Yugi : Magic Knight Rayearth qui en plus est réédité cette année dans une jolie version par les éditions Pika.

J’étais jeune adulte alors lorsque j’ai découvert les mangas en japonais puis ensuite sa version française ! Je me souviens qu’avec des amies nous débriefions ensemble sur l’histoire que l’on suivait avec assiduité aussi bien dans sa version papier qu’animé. Pourtant, le scénario est classique : une princesse en détresse appelle de toutes ses forces les élues qui sauront sauver son monde des ténèbres. C’est ainsi que trois jeunes adolescentes qui ne se connaissaient pas vont vivre les aventures de leur vie et rencontrer une salve de personnages tous aussi différents les uns que les autres. Et c’est aussi ici que nous faisons la connaissance de Mokona, la bestiole entre le lapin et le mochi qui à l’époque ne parlait pas. Enfin, il ne savait dire que « Pûû ».

Les graphismes signés entre autres par Mokona Apapa sont, à mon goût, magnifiques ! Bon, il faut aimer les grands yeux pleins d’étoiles. Mais lorsque vous lisez ce titre, vous en avez plein les pages sans que cela soit fouillis pour autant. Pour ma part, je trouve que ce shôjo oscille avec certains éléments du shônen sans pour autant perdre sa sensibilité somme toute féminine. On retrouve les liens forts d’une amitié qui font évoluer nos héroïnes et qui les rendent plus fortes à trois que seules. L’amour et la justice sont aussi au cœur de cette quête pour sauver un monde des créatures maléfiques.

Magic Knight Rayearth de Clamp

Série en 6 tomes – 3 réédités / Pika Edition

Son résumé :

Lors d’une sortie scolaire, Hikaru, Umi et Fû sont soudain transportées à Cefiro, un monde parallèle envahi de psycho-monstres. Pour retourner chez elles, ces collégiennes devront s’unir et délivrer la Princesse Émeraude, garante de l’harmonie et prisonnière du félon Zagato, que seules les trois “Magic Knights” peuvent vaincre !

Et enfin, le dernier manga shôjo qui m’a fait voyager, mais qui m’a également vu grandir, évoluer moi-même, un manga que j’aime d’amour depuis l’enfance et que j’avais découvert à l’époque dans sa version animée (sur Récré A2) Lady Oscar ou plutôt, Versailles no Bara.

Ce titre c’est mon doudou, mon amour, tout un pan de ma vie aussi !

Oscar, héroïne précurseur et féministe qui a été élevée comme un garçon dans un monde d’homme et qui va confronter le devoir de sa condition à des idéaux qui n’iront pas forcément dans le sens de ce qu’elle a si chèrement défendu une grande partie de sa vie.

L’histoire se déroule un peu avant la Révolution française et met en valeur plusieurs femmes de l’histoire de France, dont Marie Antoinette. Riyoko Ikeda, la mangaka s’est inspirée en partie du roman de Stephen Zweig, « Marie Antoinette » pour romancer sa vision d’une reine qu’elle a voulu romantique et pleine de noblesse jusque dans sa fin tragique. À son opposée, nous avons Oscar François de Jarjayes, née de sexe féminin, mais la fille de trop que son père éduquera comme un homme pour qu’elle puisse faire perdurer le nom et la tradition familiale. Riyoko Ikeda s’est sans doute inspirée pour son héroïne de Princesse Saphir du père du manga, Osamu Tezuka.

Versailles no Bara est un récit baroque, tout plein d’émotions et terriblement sombre. Mais surtout, un manga imparfait et désuet dans ses codes qui ont évolué depuis les années 1970. Dans mon cas, je trouve que ça a son charme. Les anachronismes sont légions, ainsi les protagonistes sont habillés avec des pantalons pattes d’éléphant. Au XIXe siècle c’est moyen. Il y a beaucoup de scènes dramatiques également… Bref, j’adore. J’aime autant le manga très « kitch » que le dessin animé.

La Rose de Versailles

Série en 2 tomes – Intégrale- avec des spin-offs ( 2 au total) / Editions Kana

Son résumé :

France, au printemps 1770, l’archiduchesse Marie-Antoinette, fille de l’impératrice d’Autriche Marie-Thérèse de Habsbourg, se marie à 14 ans avec un Bourbon, le futur Louis XVI. La dauphine est protégée à tout instant par le capitaine de la garde royale, Oscar François de Jarjayes, qui n’est autre que la fille cadette d’une respectable famille de soldats. Un jour, alors que Marie-Antoinette se rend à un bal masqué à l’opéra, elle y fait la rencontre d’un gentilhomme suédois, Axel de Fersen et en tombe amoureuse. Ils ont tous les trois 18 ans leur rencontre va, à jamais, bouleverser le cours de leur existence.


Eh bien voilà, je pense que j’ai fait un (out petit et riquiqui) petit tour des mangas qui m’ont le plus marqué et qui ont su me faire oublier mon quotidien. Il y a bien sûr d’autres titres (je pense notamment à Boku No Chikkiyu o mamotte – Réincarnation paru aux éditions Tonkam qui a aussi bercé la fin de mon adolescence et que j’ai adoré) que je n’ai pas pu tous citer. Mais le temps tourne et puis, je suis certaine que vous retrouverez d’autres titres tout aussi passionnant chez mes collègues participant à cette semaine du shôjo.


Je vous propose d’ailleurs de découvrir en lien ci-dessous les articles des autres participants et j’en profite également pour remercier chaleureusement, Le Club Shôjo pour m’avoir sollicité pour cette nouvelle édition de la semaine du shôjo !

Artemissia

Artemissia🦋 Je m'occupe du blog Songe d'une nuit d'été depuis 15 ans. J'aime la littérature sous toutes ses formes ainsi que tout un tas d'autres choses dont les mangas (passion depuis plus de 30 ans)💖 J'ai aussi un compte Instagram : @addict.passion

22 Commentaires

  1. Hé bien on se retrouve sur Magic Knight Rayearth !

    J’ai beaucoup apprécié cet article très personnel, et je trouve que le sujet s’y prête de toute façon beaucoup, puisque le voyage a lieu dans notre tête finalement !

    Ta sélection est très riche en plus, et plusieurs titres me font envie, en particulier ceux plus anciens.

    1. Je ne pouvais pas ne pas parler de Magic Knight Rayearth 🙂 Mais, j’ai du faire des concessions et il y a pas mal de titres qui me sont revenus et certains ne sont jamais sortis en français !

      De Chiho Saito nous avons eu tout de même le manga Utena, la fillette révolutionnaire qui était paru en français chez Pika édition. Un titre particulier que j’avais adoré (et l’héroïne badass qui se travesti en garçon également).

      Il y en a un autre en shôjo dont je ne me souviens plus du tout du titre mais que j’avais dévoré quand j’habitai là-bas. C’était un historique, un jeune homme portugais qui débarque au Japon et va se lier avec une jolie japonaise… J’avais adoré mais jamais traduit !

      Tu vois, moi je m’y connais mieux en vieux titres qu’en nouveaux XD

  2. Coucou ^^ Tout d’abord, un très grand merci d’avoir accepté notre invitation et de prendre part à cet événement interblog !

    Quel joli article fait de shôjo tous plus beaux et captivants les uns que les autres. Je ne les ai pas tous lus mais je suis persuadée qu’ils me plairaient ! C’est vrai que le sujet invitait aussi à l’introspection : qu’est-ce qui nous fait voyager ou nous évader. ^^ Je suis sûre que ça n’augure que de belles participations !

    Fushigi yûgi ♥ J’adore tellement, que j’ai hâte de pouvoir mettre la main dessus. L’anime m’avait marquée quand je l’ai regardé et à ce jour, peu de titres le détrônent – excepté Yona. Non seulement on voyage grâce au transport dans un autre univers mais avec le groupe formé autour de Miaka on bouge de territoire en territoire. ^^

    Que ce soit Called game ou bien Magic knight rayearth, j’ai tous les tomes et il ne me reste qu’à plonger dedans. 😀

    1. C’est un grand plaisir pour moi que de participer à cette nouvelle édition et je te remercie encore pour ça 🙂 On va dire que je lis du manga depuis plus de 30 ans (oui, ça ne me rajeunit pas) et même si j’ai eu quelques années ou j’en lisais beaucoup moins, je ne suis jamais parti très loin.

      Ah, mais je ne connais pas du tout Yona, c’est si bien que ça ? J’ai vu que l’Apprenti Otaku en parlait également sur son article, du coup, je suis tentée. C’est de la fantasy ?

      Je te souhaite de très belles lectures (et tu as de quoi apparemment ^^)

      1. Oui je vois ce que tu veux dire ^^ Pour ma part, ça fait disons une dizaine d’années que je collectionne activement du manga. Mais j’imagine que c’est un peu pareil, avec l’expérience on acquiert des goûts très variés 😀

        J’adore Yona et je ne suis peut-être pas très objective à vrai dire. La série mélange plusieurs éléments qui me plaisent : le côté fantasy/fantastique, le côté quête et aventures, ainsi que l’aspect géopolitique de l’histoire ^^

        Merci beaucoup ! Oui j’ai pas mal de belles lectures qui m’attendent 😁 À toi aussi, je te souhaite de bonnes lectures ^^

  3. Super, j’adore, ça fait des souvenirs avec Fushigi Yugi, Lady Oscar <3
    Magic Knight Rayearth je le découvre avec la nouvelle édition ^^
    La courtisane d’Edo est dans ma liste à lire, et réunir les tomes manquants donc cool de savoir qu’il t’a plu
    Called Game je désespère de pouvoir lire la suite
    Ton non licencié fait super envie du coup
    Je n’avais pas le temps de participer, mais je suis venue et je réagis :), mais je suis quand même touchée qu’on m’ait proposé.

  4. Très joli billet dans lequel je le retrouve bien de part mon vieux parcours de lectrice de shojos aussi. Alors pas de découverte, mais le rappel de plein de vieux titres que j’aimerais relire 😄

    1. C’est ce qui m’est arrivé. En écrivant ce billet, ça m’a donné envie de ressortir pas mal de vieux titres ! O ne va pas se mentir, on a eu de très très beaux titres. Je n’ai pas parlé de Ayashi no Ceres, mais je suis fan également de ce titre de Yuu Watase…. Oh, là ! là ! Si seulement mes journées faisaient 72 heures au lieu de 24h XD

      1. Mais moi aussi, j’ai adoré Ayashi no Ceres (et le beau Toya !!!). Là, je suis en train de relire Nana tranquillement à mon rythme et je pense que je vais inclure chaque semaine des relectures d’anciennes séries pour petit à petit replonger dans tout ça ^-^

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