| Année de sortie : Octobre 2017 Créée par : Jonathan Entwistle et Charlie Covell Avec : Alex Lawther, Jessica Barden, Wunmi Mosaku Nationalité : Britannique Genre : Humour noir, comédie dramatique Format : 25 minutes Nombre d’épisodes : 8 
Synopsis Un ado psychopathe en herbe et une rebelle en quête d’aventure embarquent pour un road trip d’enfer dans cette série à l’humour noir inspirée d’un roman graphique. |
Mon avis
J’ai un humour carrément décalé. Donc, quand on voit la bande d’annonce de cette série, ma réaction a été : « Mais oui ! »
J’ai donc regardé la série avant de savoir qu’elle était basée sur un roman graphique de Charles S. Forsman.
En réalité, cela a peut être été un peu trop décalé pour moi ! C’est une série qui présente deux ados qui sont bien paumés et qui vont, par des concours de circonstances, se retrouver à faire un roadtrip avec chacun des objectifs bien différent.
Le sans gêne, avec les quiproquos sont à mourir de rire et parfois même gênants (je me suis trouvée à me cacher les yeux derrière mes mains). C’est dur de se dire que « oui, certains jeunes doivent probablement être vraiment comme ça! »
Les deux jeunes, très bien incarnés par les acteurs, sont tour à tour énervants, bouleversants, mais aussi complètement incompréhensibles (le côté décalé surement !)
Malgré les thèmes abordés qui sont assez durs, il y a quelques passages magnifiques, que j’ai plaisir à regarder à nouveau.
Et la BO de la série est génialissime !
L’avantage aussi de cette série c’est que les épisodes sont extrêmement courts et donc, passent très vite entre deux choses à faire!
Au final, c’est une série qui se regarde, de par ses épisodes très courts mais aussi car il est difficile de ne pas savoir jusqu’où ces deux ados atypiques et dégantés vont aller. D’un autre côté, certains passages ont été beaucoup trop gênants pour moi, surtout avec la façon de réagir des personnages.
The end of the f***ing world
Les plus :
- La performance des acteurs
- L'histoire prenant
- Les épisodes courts
Les moins :
- Les personnages décalés
- Le manque d'empathie
