Le tourbillon d’une valse, de Barbara Cartland

Le tourbillon d’une valse, de Barbara Cartland

Le tourbillon d'une valse, Barbara Cartland, J'ai Lu pour elleNombre de pages : 160 pages
Éditeur : J’ai Lu pour elle
Date de sortie : 4 janvier 2017
Collection : Barbara Cartland
Langue : Français
ISBN-13 : 9782290138953
Prix Éditeur : 5,90 euros
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

Affligée par la mort de sa mère, Valeria Middleham accepte volontiers l’invitation de son amie Juliette à séjourner dans son château de la vallée de la Loire. Elle y fait la connaissance de Charles Waterford, un homme séduisant mais désagréable et hautain. Il est si sérieux ! Et si différent de Patrick Corbridge, qui fait à Valeria une cour empressée. Conquise, la jeune fille retourne à regret en Angleterre et tombe des nues en apprenant que son père est ruiné. Une seule chose le sauverait du désastre : accepter de devenir l’épouse d’un millionnaire qui vient de demander sa main. Valeria se surprend à penser à sir Patrick mais, le soir même, c’est l’austère lord Waterford qui se présente.

Mon avis :

J’aurais vraiment aimé découvrir Barbara Cartland plus jeune, à l’adolescence, au moment où les émois sont les plus forts et où les effleurements de la main peuvent faire frissonner de plaisir jusqu’à la moelle. Parce qu’il faut bien le reconnaître, c’est particulièrement niais. Et mal construit. Et avec des personnages qu’on a envie de secouer !

Bref, vous l’aurez compris, je n’ai pas passé un bon moment avec ce roman. J’espérais un petit bijou à découvrir, mais la lecture a été plus que laborieuse. Pourtant tous les éléments étaient là : le côté parfait avec les paysages des châteaux de la Loire, les deux prétendants qui (même si l’on sait très rapidement celui qui prendra l’ascendant) se battent pour les doux yeux de la belle, l’élément perturbateur avec la ruine du père, la jeune femme qui prend ses distances et décide d’aller rénover le château de lord Waterford… Mais les répétitions et lourdeurs sont très présentes : oui on a bien compris que Valeria n’apprécie pas Charles mais aime beaucoup plus Patrick. Charles a vu la jeune femme tomber à cheval, c’est la raison principale pour laquelle elle ne l’aime pas… Et à côté de ça Patrick danse bien, ce qui est une vraie qualité… La jeune femme se comporte comme une gamine imbue d’elle-même et un peu niaise, avec un côté très tête à claques. Elle découvre peu à peu la vie (« oh, comment ça, il y a des gens qui sont pauvres ? Mince alors ! ») et tout à coup PAF, elle découvre qu’elle aime Charles et pas Patrick (qui est devenu méchant entre temps).

Le seul point positif, c’est que ça change des romances comme il en sort des dizaines par mois, dans lesquelles la place donnée à la sexualité est prépondérante. Je n’ai rien contre ce type de lecture, bien au contraire, mais c’est vrai que de retomber sur quelque chose de très fleur bleue, de très court, et qui continue à avoir du succès, et bien ça redonnerait presque foi en l’humanité !

Le deuxième point positif (oui je sais j’ai marqué « le seul » plus haut mais j’ai envie de changer d’avis), c’est que je pensais ne rien avoir à écrire pour cette chronique, et finalement je m’en suis plutôt bien tirée je pense !

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