FANFICTIONS: CONFESSIONS EDWARD- OS

Titre : CONFESSIONS EDWARD- OS

Auteur: Saeko

Rating : PG

Pairing: Edward…

Disclaimer : Il est évident que les personnages appartiennent à la grande Stephenie Meyer

Note de  l’auteur : Bonjour

Voici encore une petit texte de mon cru, c’est en fait un passage de fascination à la sauce Midnight Sun
je n’ai pas fait un chapitre entier juste ce qui m’a inspiré

Bonne lecture en espérant que ça vous plaira
Saeko


CONFESSIONS EDWARD

Par Saeko


Bella Swan aura été la lame de fond qui aura balayé, avec une aisance déconcertante, dès notre toute première rencontre les règles fixes et rigides que j’avais érigé dès lors que j’avais décidé de rejoindre ma famille et de me soumettre à un régime végétarien.

Depuis ce jour je suis balloté par d’aussi violentes que nouvelles sensations qui m’assaillent inéluctablement. En implacable ensorceleuse, elle m’a contraint à l’aimer d’une façon que je n’aurais jamais crue possible.

En ce samedi ensoleillé, nous marchons en direction de mon unique sanctuaire, mon havre de paix. J’y viens, oublié et oublieux du reste du monde. Jamais le besoin de partager cet endroit ne s’était fait ressentir, mais comme toujours avec ma douce, ce qui fût n’est plus.

J’avais pensé le parcours, sillonné à allure humaine, laborieux et difficilement lent pour le vampire que je suis. Il n’en est rien. La peur, pièce maitresse de ma vie dorénavant, fait en mon antre son inexorable labeur. Elle vrille mes entrailles mortes.

Les réactions de Bella quant à ma condition inhumaine m’ont toujours déstabilisé, elle a accepté dans une douceur et une confiance infinie ce que je suis. Néanmoins, connaitre et expérimenter sont deux choses distinctes. Elle sait mais n’a jamais vu, tout en elle me prouve qu’elle n’a qu’une infime conscience de ce dont je suis fait, de ce dont je suis capable. Je la soupçonne même de nier volontairement la partie sombre de mon être. Une fois exposé aux rayons du soleil, il me sera impossible de désavouer ou d’édulcorer une impitoyable vérité. Et à ce constat, elle ne pourra plus nier. Son instinct, qui s’est montré jusqu’ici d’un disfonctionnement risible, se remettra en marche et elle fuira aussi vite et aussi loin que possible, ce que je me suis promis de ne pas empêcher.

Nous vivons donc les derniers instants de notre tacite chimère. Je devrai retourner à ma non-vie insipide par la suite. Cette idée me terrifie. La faible allure étire donc, charitablement, le temps passé ensemble qui nous est encore accordé.
-On est bientôt arrivé ? Demande-t-elle.

-Presque. Je ne peux refreiner un sourire amusé, son ton a changé, elle semble quelque peu excitée. Tu vois la lueur là-bas ?

Elle plisse les yeux en scrutant attentivement l’horizon.

-Heu non.

Bien sûr que non, et encore une fois j’oublie moi aussi qu’elle ne voit, n’entend ni ne sens ou ressens les mêmes choses que moi. D’une même réalité se dégage deux perceptions différentes et peut être même antagonistes.

-C’est sans doute un peu trop loin pour tes yeux. J’ai appuyé sur le « tes », stratagème qui a pour but de lui faire prendre conscience de notre différence. Tout nous prouve que nous ne sommes pas faits pour être ensemble, les lois de la nature s’opposent rageuses à un éventuel « nous » et elles ne cessent de me renvoyer les preuves de ce que je sais déjà.

-Alors c’est qu’il serait temps que j’aille chez l’ophtalmo. Encore une fois elle retourne, sans difficulté aucune, mon implicite suggestion et arrive à rendre amusante notre, pourtant, agaçante disparité. Je rends les armes et ris de bon cœur.

Sans mot dire, nous continuons à marcher. Néanmoins au bout d’une centaine de mètres, elle presse le pas, son rythme cardiaque s’accélère. Pour ma part, il m’est de plus en plus difficile d’avancer, je ne peux contenir la peur qui rugit en moi. Je tente de ne prêter aucune attention à la voix qui me hurle et me supplie de cesser cela, de trouver une quelconque excuse afin de faire demi-tour. Je n’aurai nullement la force d’affronter le regard de dégoût et d’horreur qu’elle portera sur moi une fois qu’elle saura. Ma respiration devient erratique, la terreur m’étouffe. Inconsciemment, mes jambes refusent de me porter. Alors que Bella accélère, de mon coté je ralentis lâchement. Chaque pas est un coup de couteau porté à mon corps qui se rebelle à l’idée de perdre celle qui est devenu maintenu son essence vitale.

Elle finit donc par me devancer, muée par un courage que je n’ai pas. Je devrais peut être lui avouer là, maintenant que tout cela est trop pour moi, que je refuse de, ne serait-ce que prendre le risque de la perdre. Cette idée me rebute.

Bella passe les dernières rangées de fougères et entre dans la clairière, elle avance sûre et tranquille. Immobile, je la contemple, ma douce, mon irrésistible. La beauté du lieu s’efface devant sa splendeur. Tout porte à croire que la nature s’incline face à la grâce de Bella. La luminosité du soleil a perdu de sa splendeur, les couleurs ont abandonné leur éclat.

Bella, ma Bella.

Les rayons lumineux se dressent en une barrière infranchissable. Alors que je vais ouvrir la bouche afin de la supplier de me rejoindre dans l’ombre, elle semble se rendre compte que je ne suis plus à ses côtés. Pendant les quelques instants où elle ne me voit pas, tapi dans l’ombre, je peux distinguer clairement l’inquiétude qui la traverse. Son cœur bat à tout rompre.

Puis ses magnifiques prunelles humaines me délogent enfin de ma cachette, elle fait un pas vers moi et m’offre le plus beau sourire qui soit. C’est dans ce sourire que je puise la force d’avancer. J’inhale profondément, je peux de cette façon sentir son ensorcelante odeur et plonge dans la lumière.
Depuis notre soirée passée ensemble dans le restaurant de Port Angeles une inquiétude m’habite quant à la santé mentale de Bella. Maintenant je sais. Bella est folle, et je vénère et glorifie, autant que faire se peut, sa folie. Si celle-ci nous offre une chance d’être ensemble alors on ne peut que s’agenouiller, reconnaissant face à cette défaillance. Après tout je suis un vampire, quand bien même serait-elle complètement démente, elle ne serait pas la plus à blâmer.

Me voilà donc, moi Edward Cullen allongé dans l’herbe avec la plus belle des créatures à mes cotés pour me tenir compagnie. La brise qui flotte autour de nous envoie les effluves de Bella, fouetter mes narines.

Depuis combien de temps n’ai-je pas vécu une telle intimité ? La réponse adéquate à cette question, serait : jamais. Il règne entre nous depuis quelque heures un silence, non pas gêné, mais confiant. Depuis ma renaissance, jamais je n’ai été avec une personne, vampire ou non, sans en entendre les pensées. Cette tranquillité m’étourdie de bonheur. Je plonge avide dans ce calme béni, les seuls stimuli que j’autorise à rompre ma quiétude sont les battements de son cœur, son souffle tranquille qui vient me lécher de ses attirantes lampées, et les mouvements, même les plus banals, de Bella. Je ne peux m’empêcher de fredonner les airs les plus gais que je connaisse, ce qui, bien évidement, n’a pas échappé à Bella. Elle est d’une aptitude à l’observation fine étonnante.

Tout à coup, je ressens la plus exquise des sensations jamais accueilli par mon corps, Bella caresse d’un doigt la froide et dure peau de ma main. C’est un profond choc pour moi. Elle doit vouloir toucher ma peau à la façon d’un chercheur, tenter de rationnaliser ma nature.

J’ouvre les yeux et l’observe attentivement. Ce que je peux voir sur ses traits n’a rien à voir avec une curiosité qui pourrait relever du scientifique. Elle couve ma main d’un regard attendrissant teinté d’une douce fascination. De plus son cœur virevolte.

Elle relève les yeux et croise les miens, déclenchant un automatique sourire de ma part.
-Je ne t’effraie pas ? Je tente d’habiller ma voix d’une intonation désinvolte afin de cacher mon réel désir de savoir.

-Pas plus que d’habitude.

Elle est honnête, c’est certain. Elle peut donc observer à loisir ma nature monstrueuse et malgré cela, elle reste, encore une fois confiante, bienveillante. Mon sourire s’élargit.

Emplie d’une détermination nouvelle, son doigt fait place à sa main et elle trace des arabesques le long de mon avant bras. Je crois défaillir. Sa main est chaude, mais pas d’une chaleur qui pourrait être désagréable, une de celle qui vous ravive. Jamais personne ne m’a fait ressentir un tel…plaisir. De sa présence mon cœur, même s’il ne bat plus, s’était remis à fonctionner, maintenant de son touché mon corps brûle d’une faim jusqu’ici inconnue. Je ferme les yeux afin de profiter autant que possible des sensations que Bella peut m’offrir.
-Je t’embête ?

M’embêter ? Quand je disais que cette femme était en proie à une inexplicable folie. J’aurais voulu rire de part la stupidité de sa question mais cela n’aurait pas été convenable, et l’aurait très certainement blessée. J’essaie donc de trouver les mots justes afin de la rassurer.

-Non, tu n’imagines pas les sensations que tu me procures.

Elle accepte donc de continuer à m’accorder son touché tant délicat qu’incomparable. Je perçois qu’elle invite ma main à se retourner et j’obéis donc heureux à son implicite demande. Devant mon mouvement trop rapide, elle se fige.

-Désolé. J’ai tendance à me laisser aller à ma vraie nature avec toi. Et j’en suis plus qu’heureux devrais-je rajouter mais je ne suis pas sûr que cela soit une bonne chose, surtout quand nous ne sommes que tous les deux.

Elle relève mon poignet et le colle si prêt de son visage que je peux sentir son souffle brûlant ricocher sur mon épiderme. Une étrange envie s’empare de moi, j’ai envie ou plutôt besoin qu’elle continue à me toucher, encore et encore et je voudrais pouvoir en faire autant. Qu’essaie-t-elle de distinguer en regardant mon poignet ainsi ? Que ressent-elle face à moi ? Face à ma peau aussi froide qu’un mort, aussi repoussante qu’un caillou ?

-Dis-moi à quoi tu penses ? L’ignorer est si étrange.

-Je te signale que c’est notre lot commun à nous tous.

-Votre existence est dure. Dis-moi. Me voilà en train de supplier maintenant !

-Je songeais que j’aurais aimé savoir ce que toi tu pensais.

Croit-elle vraiment que cela va suffire ?

-Et ?

-Je songeais que j’aurais aimé croire en ta réalité. Et ne pas avoir peur.

-Je ne veux pas que tu aies peur.

Dieu que je souhaiterais que sa peur puisse ne pas être justifiée, qu’elle puisse ne rien craindre de l’infâme que je suis.

-Pour être exacte la peur en elle-même ne me préoccupe pas tant que cela. Bien qu’elle ne soit pas négligeable.

Poussé par une abyssale curiosité et une insatiable envie de la rassurer, je me relève sur mon coude, n’enlevant nullement ma main postée dans les siennes et me rapproche d’elle.

-Que crains-tu ?
Sans l’avoir délibérément décidé, je me retrouve si près d’elle que je me sens comme aimanté, inéluctablement attiré par l’odeur non pas de son sang mais de sa peau, de son souffle. Jamais je n’ai entendu son cœur battre d’une façon tant désordonnée. Je la vois se pencher. J’en suis tout à fait déstabilisé, ses réactions ne cessent de me prendre au dépourvu. Elle voit quelle créature je suis, quel danger je représente et malgré tout elle se penche vers moi ! Une bataille rangée se tient entre mon besoin de la sentir plus près encore, et ma peur de la blesser. Ce que je ressens en cet instant, ce n’est pas le vampire, mais l’homme que je croyais à tout jamais oublié, perdu. L’homme que j’ai été, les instincts humains que j’ai gardé me poussent à me rapprocher de Bella. Oui mais voilà, je ne suis pas humain, je ne peux écouter cette envie si forte qu’elle en devient douloureuse, je me dois, non je lui dois de m’éloigner. Je m’échappe donc rapidement me poste à l’ombre d’un gigantesque épicéa et la regarde avec une avidité purement humaine.

-Désolée. Murmura-t-elle.

-Donne-moi juste quelques instants.

Je ne peux retourner auprès d’elle maintenant, quelques instants me sont effectivement nécessaire afin de redresser les barrières de ma volonté. Je dois avouer que je suis en proie à une furieuse colère, Bella n’a toujours aucune conscience du caractère dangereux de ma présence à ses côtés. Même maintenant, elle continue à penser que je suis son alter égo, un simple et inoffensif camarade. Pourquoi me tente-t-elle de la sorte ? Si moi je suis incapable de m’éloigner d’elle, pourquoi ne se protège-t-elle pas elle-même ?

Une fois mon envie muselée, mon corps verrouillé, j’avance lentement, afin de ne pas l’effrayer, vers elle. Cependant cette fois, j’instaure une distance certaine entre nous, cet espace a pour but de, non seulement me permettre de ne pas retomber dans des travers dangereux pour Bella mais en plus de lui laisser le loisir de ne pas s’inquiéter de ma présence trop rapprochée. Tout en la fixant, je m’assieds à quelques pas de sa magnifique silhouette.

-Désolé. Comprendrais-tu si je disais que je n’étais qu’un homme ?

Elle acquiesce silencieusement mais quelque chose semble changé chez elle. Elle est immobile, sur ses gardes. L’adrénaline boue dans ses veines, l’hormone est diffusée rapidement par son cœur qui bat la chamade et qui, de ce fait, indique à l’ensemble de son corps que la crainte est de rigueur. Bien, je me suis promis de ne pas lutter contre ce moment, elle doit voir, savoir ce que je suis. Je dois lui montrer ce dont je suis capable.

-Je suis le meilleur prédateur au monde, n’est-ce pas ? Tout en moi t’attire – ma voix, mes traits, mon odeur. Comme si j’avais besoin de ça !

Brusquement, je disparais pour retourner me poster sous l’épicéa.

-Tu ne pourrais pas m’échapper.

Arrachant une branche, je joue avec avant de l’envoyer exploser contre un autre arbre. Libérer le vampire est jouissif, c’est un processus qui appelle à une certaine perte de contrôle. Un sentiment de toute puissance nous envahit. Nous ne sommes plus esclaves de l’attraction terrestre. Je me sens libéré des entraves qui me brident. Léger, je retourne me poster devant elle.

-Tu ne pourrais pas me résister.

Son expression hébétée me foudroie sur place, elle semble totalement apeurée. La voir ainsi me ronge le corps, l’excitation fait douloureusement place à la honte, à la désolation. Etre un vampire menaçant face à Bella me semble relever de la comédie, il me semble assister à une scène dans laquelle je n’aurais aucunement ma place, je joue un rôle qu’il me serait impossible de réellement tenir.

-N’aies pas peur. La suppliai-je. Je te promets… je te jure de ne jamais te faire de mal. Bien que j’aie toute conscience de ne pas pouvoir être absolument certain de la véracité de cette affirmation, elle sonne tel le sceau d’un serment.

-N’aies pas peur. Répétai-je. Avec toute la lenteur dont j’étais capable je me rapproche de Bella, qui n’a toujours pas bougé, afin de plonger mon regard dans le sien.

-S’il te plaît, pardonne-moi. Je sais me contrôler. Tu m’as pris au dépourvus, c’est tout. Je vais être sage maintenant.

Terrassé, j’attends une réaction, aussi minime soit elle, de Bella. Elle semble totalement figée, je conspue le monstre que je suis de l’avoir apeurée de la sorte, son regard, sa bouche qui se tient tel un O me vrille les entrailles. Je fais appel à la totalité de mes ressources afin de garder des traits qui ne reflètent en rien la déchéance que je ressens en cet instant. C’est à ce moment précis que je suis assailli d’une féroce vérité, jamais, jamais je ne pourrais faire de mal à mon amour. Ne serait-ce que de l’imaginer paraît contre nature. Je ne le pourrais pas même si je le voulais. Elle a changé de façon irrévocable la moindre de mes cellules. Elle est maitresse de moi, de ce fait, elle n’a rien à craindre de moi, certain que je serais capable de mourir plutôt que de lui faire du mal.

-Je n’ai pas soif aujourd’hui. Je prie pour que ma boutade ait un effet quelconque sur Bella.

Enfin le scintillement de son doux rire résonne comme une délivrance.

-Ca va aller ? Je supplie tous les dieux de la création que Bella me réponde par l’affirmative.

Poussant ma chance, je replace ma main, qui brûle de ne plus être dans les siennes, dans le doux nid de ses mains en coupe et la regarde tendrement. Elle reprend ses incroyables caresses et m’offre un éblouissant sourire. Je lui réponds en faisant de même, bien que mon sourire fasse bien pâle figure comparé au sien.

-Où en étions-nous, avant que je ne me comporte aussi mal ?

-Très franchement, j’ai oublié.

FIN

Artemissia

Artemissia🦋 Je m'occupe du blog Songe d'une nuit d'été depuis 15 ans. J'aime la littérature sous toutes ses formes ainsi que tout un tas d'autres choses dont les mangas (passion depuis plus de 30 ans)💖 J'ai aussi un compte Instagram : @addict.passion

32 Commentaires

  1. très jolie, j’adore le point de vue d’edward, esperons que stefenie meyer poursuivre son oeuvre de midnight sun, et qu’elle fasse de même pour les 3 autres livres lol … même si c’est un peu iréel 😀

    1. Je trouve l’idée de voir a travers Edward très interessante. De plus c’est fort bien écris, une bonne (imitation) de l’auteur! Je ne peut que vous adresser des compliments, bravo

  2. Aillant suivie tes récits je constate que ton style a muri et s’est affiné.
    Très fidèle aux personnages créés par Stéphanie Mayer, tu as su combler le vide que laisse le livre « twilight » concernant les pensées et les sentiments d’Edward.
    Je t’encourage vivement à choisir des passages clés du livre et de les réécrire du point de vu d’Edward. J’attends impatiemment la scène du baiser 🙂
    Continu.
    Au plaisir de te lire

  3. Tout simplement merci, que dire de plus … Hayfa a déjà tout simplement exprimé ce que j’en pense. Je ne saurai mieux faire.
    Alors encore merci et bravo !!!

  4. merci saeko
    j’aime beaucoup lire des fic du point de vue d’Edward c’etait magnifique
    je suis contente de t’avoir relue c’était un plaisir
    xxx

  5. Très beau travail Saeko!!
    Tu as minutieusement respecté chaque détail et le point de vue d’Edward est très touchant.
    Je ne sais que dire de plus!
    C’est juste magnifique!!
    Encore une fois BRAVO en esperant que tu nous en écrira d’autre! =D

  6. WHOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
    MAGNIFIQUE!!! SUPERBE!!!!

    J’adore, j’aime… C’est très beau! Très bien écrit comme toujours!

    BRAVOOOOOOOOOOOOO!

  7. magnifique, je me suis replonger dans le livre, a l’instant ou j’ai commencé a te lire, c’était merveilleux, tu as du talent.

    merci pour ce passage et j’espère te relire ^_^

  8. ah c’est super ! franchement j’ADORE, tu représentes si bien les sentiments d’Edward, et tes phrases collent parfaitement avec celles de Stephenie Meyer, continue ! vraiment fais nous lire tes fictions !

  9. Que dire comme toujours,j’adore ce que tu écris, le point de vu d »Edward, pour ma part c’est ce que je préfère.Les choses qu’il recent, les interogations qu’il se pose, pour moi sont plus intéressante et touchante du point de vu d’Edward, que de Bella. Alors continu………

  10. Magnifique Saeko. C’est toujours un plasir de lire ce que tu écris! 😀
    Continue et bientôt tu deviendras notre nouvelle Stephenie Meyer. lol

  11. milles merci face à ce texte qui nous dévoilent un peu plus les sentiments ….les sensations que edward éprouve envers bella …sa peur de l’effrayer…la joie qu’il ressent…et le bonheur si simple dans lequel il baigne lorsqu’il se trouve au soleil avec elle…je n’aurais réussie à écrire pareil moment moi-même …c’est magique …j’ai l’impression d’ être moi-même et de ressentir ses émotions 🙂
    c’est un pur chef d’oeuvre à liure et j’espére qui il en aura d’autres ….merci infiniment du fond du coeur saeko et un immense bravo à toi =)

  12. wow!!!!super!!!!moi qui attendait cette partie depuis longtemps!!!tu écris vaiment bien!!
    j’aimerais bien lire la suite…lol
    merci!tu écris vraiment très bien, bravo!=)

  13. je ne peux pas voir le coms sans vous remercier
    je n’écris jamais en pensant à un éventuel retour mais c toujours super plaisant et gratifiant d’en avoir alors merci à toutes celles qui prennent le temps de m’écrire ne serait ce qu’un ou deux mots

    g oublié de remercier arty je ne publie qu’ici et c parce que je m’y sens bien alors merci à toi

    pour une eventulle suite il y en aura surement une mais je préfère ne pas m’engager car pour ecrire il me faut etre seule avec moi même
    pour laisser edward ou un autre persos’exprimer je dois me sentir libre de toutes contraintes de temps ou d espérance (vous allez me prendre pour une folle mais c bien ça que je ressens quand j’ecris et c encore plus vrai avec mes perso à moi, rien qu’à moi)
    pour celles qui se poseraient la question non je ne vous écris pas d’un asile de fou lol mais de chez moi assise dans mon salon en train de pester de déjà ne plus etre dans la piscine tellement il faut chaud.
    merci encore saeko

  14. Saeko
    Merci encore pour cet fanfiction, ainsi que les autres que j’ai également lus. J’aime beaucoup ton écrit et , comme les autres, j’espère qu’il y aura des autre.Merci encore

  15. Merci bcp pr le pdv d’Edward j’espère vraiment que tu vas en écrire d’autre merci encore a toi pr cette version sublime

  16. Ce texte est très beau, les émotions d’Edward sont très bien exprimées. C’est très touchant.
    J’avais déjà lu tes autres fics et j’aime toujours autant. J’ai l’impression en effet que ton style s’est affiné. A moins que ça soit du à ton état d’esprit quand tu as écrit ce texte? Il y a plein de détails et de tendresse, c’est très agréable à lire.
    Bravo et au plaisir de lire d’autres fics de ta plume.

  17. Oh que dire!! Merci de nous montrer le point de vue d’Edward! C’est le passage que tout le monde attendait. Tu m’as donné envie de lire la suite. Dans l’attente de te relire. Félicitations pour ton style!
    Amicalement.

  18. J’ai adoré! merci Saeko et Ary! ça fait longtemps qu’on n’a pas eu droit à tes merveilles et je dois dire que ça m’a énormément manqué 🙂
    Le PVD d’Edward, comme si c’était lui qui l’avait écrit ^^ merci énormément. En plus je m’étais sentie tellement frustrée que midnight sun n’aille pas aussi loin et qu’elle ne contienne pas la fameuse scène de la clairière.

  19. Midnight sun est mon « Tome » préféré et là tu combles à la perfection le trou qu’avait laissé Stephenie concernant la clairière. J’aurais aimé avoir la scène du baiser … dans une suite peut être 😉 Tu es trés douée, merci de nous faire profiter de tes écrits.

  20. C’est vraiment magnifique ce que tu as écrit.
    Les pensées d’Edward que tu écris semble tellement véritique, j’espère avoir la chance de lire une autre de tes fics bientot.

    Si nous pouvons avoir la suite….ca serait tellement apprécier.

    Continuons ta belle écriture……
    Roxy

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