L’HOMME EST-IL L’ESCLAVE DE SES SENTIMENTS ?

Parce qu’il n’y aurait pas d’hommes sans femmes. Parce que la vie ne pourrait être à nous seuls et elles seules…

Il n’y a pas de jour pour aimer, pas d’année pour se consoler dans les bras,

D’une femme.



Femmes fatales ou sans scrupules. Femme douce, mère aimante amantes en nos cœurs. Femmes de joie sans êtres filles de joies vous dansez sur nos corps qui se meurent devant tant d’attentions à vos caresses.

Caresses visuelles et sensorielles, telles de blanches plumes nous frôlant à fleur de peau. L’âme en émoie, vous nous torturez d’un désir absolu et insoluble.

Vos peaux si parfumées, irréalité d’une fragrance propre à vous même ou déguisées. Vous nous subjugués, nous qui sommes à votre merci et ce depuis la nuit des temps.

Femmes femmes femmes… Je pourrais soupirer inlassablement telle une mélopée ce mot qui à lui seul englobe désir, tendresse mais aussi peur.

Peur de l’inconnue et de ses représentations bibliques…biologiques.

La femme est et sera. À jamais. Éternelle. Belle.

Femme enchantée, chantée de par le monde et tant de fois. Femmes dépeintes à travers poèmes et romance, tableau d’une si charmante attention.

Il en est une qui a su,

Me faire chavirer le cœur.
Cœur morne et éteint depuis un siècle.

Il en est une qui a su m’ensorceler,
De sa troublante beauté.

Femme d’amour, femme de désir troublant et interdit.
Ma femme.
Ma douce petite maman, ma tendre amante…

Ma Bella

Je t’aime.

Je vous aime.

Fauré : Pavane

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