À L’AMOUR, À LA MORT

On dit souvent que de l’amour à la haine il n’y a qu’une fine barrière mais qu’en est-il de la mort ? Seriez-vous capable d’aimer au point d’en mourir ? Mourir pour l’être aimé ? Mourir pour le laisser vivre, mourir pour le rejoindre ?

Hier j’écoutais une chanson de la française : Edith Piaf, que je pense, vous devez bien connaître. Son hymne à l’amour est grandiloquent. Je me suis senti tout à fait concerné par les derniers  textes : Si un jour la vie t’arrache à moi, si tu meurs, que tu sois loin  de moi peu m’importe si tu m’aimes car moi je mourrais aussi…
C’est tellement ce que je ressens envers ma Bella. Je sais que pour elle maintenant ça serait pareil. Enfin, je le pense mais les femmes sont reconnues pour être plus forte que les hommes. Bien que je sache qu’elle ait faite une bêtise lorsque j’étais loin d’elle.
Je ne pensais pas que cet état de fait m’arriverait. J’avais toujours été le spectateur de sentiments étranges et débordant : Rosalie et Emmet, Alice et Jasper. Qui eut cru que moi aussi, un jour, je rencontrerai enfin mon âme. Je n’ose continuer avec sœur car pour moi Bella reflète bien mon âme. Elle l’a prise en elle et je vis à travers elle, pour elle.

Vous cher(e)s lecteur(s)rice(s), seriez vous prêt à mourir pour l’être aimé ? Avez-vous déjà ressentie ces affres que l’amour absolu et inconditionnel, qu’une personne autre que vous-même, vous apporte ?
Si oui alors vous me comprendrez à travers ces réflexions. Si non ? Je ne le vous souhaite jamais car aimer alors aurait un goût de mort. Tant que votre âme sœur, votre compagne ou compagnon n’aura pas l’assurance d’une vie éternelle vous aurez l’assurance, vous, de ne pas y survivre.


E.C

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